vendredi 14 octobre 2011

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Rachetée de l'enfer










Bonsoir, chère Mme. Esther!

Le Saint-Esprit requiert que je parle de la transformation qu'il a opérée dans ma vie afin de pouvoir ainsi atteindre les personnes qui se sentent incapables de sortir de la situation dans laquelle elles se trouvent.

Beaucoup restent apeurés face à un abandon total de leur vie et préfèrent vivre d’apparences, comme je le faisais, parce que je n'ai jamais imaginé la réalité de ma famille.

Je vais décrire brièvement mon histoire avant ma rencontre avec mon Dieu et Seigneur.

Beaucoup de gens, qui méconnaissent la puissance Divine, pensent que ceux qui cherchent Dieu, sont ceux qui font partie d’une classe sociale dénuée d’amour, d'éducation, de famille, ou des gens qui vivent dans des bidonvilles, qui connaissent la famine ou même les célèbres "ex: «trafiquant de drogue, ex-prostituée, ex-bandit, etc… Cette réflexion est une terrible supercherie du diable.

Quand je pense à mon enfance, me vient à l'esprit les moments d'une famille parfaite, mes parents assis à table discutant, des conversations, des gestes d'affection envers moi, leur unique enfant, élevée avec le meilleur. Mais cette image est aussitôt interrompue par des souvenirs qui contredisent toute cette sérénité.

De ce fait, débuta la trajectoire de mes parents dans une quête incessante de Dieu, nous avons frappé à plusieurs portes.

A l’âge de treize ans, je suis arrivée au Cénacle du Saint-Esprit. Non pour avoir une rencontre avec Dieu, mais pour être une bonne fille, j'accompagnais ma mère, parce que moi aussi je croyais que les personnes qui cherchaient Dieu, comme je l'ai dit antérieurement, étaient moins favorisées que ma famille.

Au fil du temps, j'ai arrêté d'accompagner ma mère et j'ai hérité toute la malédiction qui était sur mon père. Je suis tombée malade et j'ai perdu toute ma force de vivre. Cerclée par les livres, la culture, par beaucoup d'informations et peu de vie.

J’ai fini par penser que j'étais un “cas perdu”, que Dieu ne voulait plus rien savoir de moi, si grande était l'affliction que je sentais. Alors, au beau milieu des traitements médicaux sans succès, parce que les problèmes ont empiré, je me suis fatiguée de toute cette situation.

J'étais une jeune fille qui avait un visage rempli de blessures, des évanouissements constants, des douleurs dans le corps, il est question de tant de choses que je ne peux tout écrire ici.

Dans cette période, je suis allée quelques fois à l’église avec ma mère, mais le pasteur parlait et je ne comprenais rien de ce qu'il disait. Comme si les mots n'arrivaient pas à mes oreilles, c’était comme une mimique et quand j'entendais, pour moi il parlait d'autre chose, il n'y avait aucune cohérence dans ce qu'il disait. Evidemment, j'ai tout abandonné et je suis partie décidée à ne plus jamais revenir.

Tout cela a fait de moi, une personne horrible, méchante, pleine de haine de la vie et de mes parents.

Je me demandais: Pourquoi suis-je venue au monde, pour vivre de cette façon? Pourquoi j'existe et Dieu pourquoi existe-t-Il?

Cette phrase alimentait une haine vivante en moi, comme un souffle, la haine me donnait de la force pour supporter. Je me suis transformée petit à petit, sans m'apercevoir, lorsque j'ai remarqué ce géant que j'alimentais pendant toute cette période, j'étais en train de me dévorer et je provoquais des dégâts énormes.

Sachant que je n’avais plus rien, si ce n’est vivre la caricature d'une vie, très révoltée contre Dieu et je peux dire partiellement dans les ténèbres, j'ai fait la plus grande des folies: j'ai donné mon âme au diable. Ce fut horrible !

J'étais prostrée et quand je me suis levée, quelque chose de différent a commencé à vivre en moi, un autre être. J'avais la compagnie constante des démons, je me suis éloignée de tous ceux qui m'aimaient, je parlais et marchais avec le diable, j'étais enclin à faire du mal.

En fin de compte, entre autres choses, mon plus grand désir était de tuer. Tuer mes parents et voir leur sang coulé comme signe de puissance, principalement celui de ma mère, pour sentir son sang, le toucher ou même le boire. Parce que je buvais mon propre sang pour fortifier mon voeu. Je détestais ma mère parce qu'elle cherchait Dieu et priait pour moi.

On me frappait, j’avais des coupures aux jambes qui saignaient, mais j'étais la seule à savoir ce qui se passait, personne d’autre, car cela n'était pas visible. Ce furent tant de moments de tourments spirituels, d’humiliations, de haine hargneuse, de menaces etc. J’étais menée dans un endroit sombre où il y avait beaucoup de feu, les cris de terreur étaient assourdissants.

Je ne pouvais pas regarder, mais je me souviens que j’ai fini par désobéir et par voir beaucoup de choses. Des personnes agonisaient, comme des prisonniers qui pourrissaient, l'odeur était horrible. Un ou deux démons me prirent par le bras dans un large et long couloir. Devant il y avait un trône énorme dans le couloir du tourment, où restait un démon très grand et deux autres démons, un de chaque côté, en signe de pouvoir, c'était la trinité de l'enfer.

Il y avait beaucoup de larmes et de cris, des ombres passaient rapidement derrière ce trône et revenaient d'où ils étaient venus, ils passaient par moi et se moquaient de moi, il faisait très sombre, il y avait des odeurs, des ténèbres, beaucoup de ténèbres.

Je vivais dans les ténèbres.

Puis une voix forte m'ordonna: plie tes genoux, parce qu’ici c’est ta place, tu vas rester ici.

Cela ne servait à rien, je n'obéissais pas, j'y retournais et je souffrais encore plus.

J'ai essayé de me suicider en prenant des médicaments et par pendaison. Le désir de sang a commencé à augmenter. Je me souviens que j'ai passé un grand couteau de cuisine dans ma jugulaire, mais la coupure fut externe. Je n'avais plus aucun contrôle, je voulais tuer et lorsqu’il voulait la mort, je souhaitais la mort.

Quand quelque chose de mauvais arrivait près de moi, avec une joie diabolique, j’étais soulagée.

Et il me disait: Il n'y aura pas de retour en arrière, c'est moi qui dicte!

Ah ! Il y avait tant de choses, mais tant de choses... Retourner? Vers où?

Oui, retourner dans la même chambre et utiliser une détermination surnaturelle. A ce moment-là, j'ai appris ce qu’est être forte et véritablement révoltée et j'ai mis une fin à tout cela!

Dans cette situation je me suis littéralement levée contre l'enfer.

Comme s'il s'agissait de mon dernier souffle de vie, humblement j'ai supplié Dieu:

“Je ne veux rien! Le Seigneur me voit ici, dans cette obscurité? Alors si vous réussissez aussi à m'écouter, je veux mourir maintenant, je ne veux pas être guérie, je ne mérite rien, je veux juste mourir devant Vos yeux. Je n'ai besoin que de cela, mourir maintenant, que le Seigneur me voit, et m'emmène.”

Ce fut simplement ma prière.

A l’aube, Dieu m'a visité et accepté. Comme une misérable, une malade errante, brisée, incapable de me lever, totalement baignée en larmes de repentance, reconnaissant mon insignifiance et mes insultes contre Lui et même ainsi, Il m'a tant aimé.

La paix a rempli cette chambre, mou coeur s'est calmé, sans m'apercevoir, je me suis endormie.

Le sacrifice infantile: un business









La BBC a divulgué, mardi dernier, un article dénonçant la pratique de sacrifice d'enfants en Ouganda, Afrique.

Un journaliste qui se faisait passer pour le propriétaire d'une entreprise de construction, à la recherche d’affaires plus lucratives, alla voir un sorcier local et lui demanda comment il pouvait l'aider dans cette conquête.

Le sorcier a immédiatement demandé près de 400 dollars et a sacrifié un chevreuil et dit à l'homme d'affaires qu’il devait revenir dans deux jours.

Lors de la seconde rencontre, le sorcier a proposé au reporter, déguisé en homme d'affaires, un "plus puissant" travail de sorcellerie: sacrifier un enfant et lui suggéra d’enterrer les parties du corps dans l’un des terrains des constructions.

Le sorcier lui dit, que pour avoir de meilleurs résultats, ce travail était le plus fort à être réalisé.

La rencontre fut filmée avec une caméra cachée et les images ont été remises à la police locale. Mais malheureusement, les autorités semblent ne pas être disposées à faire quelque chose à ce propos. Près d'un millier de cas de ce genre restent sans action et mises à côté par la police.

Le reportage montrait que ce type de sacrifice est devenu un business dans le pays, où les gens cherchent, par tous les moyens, une façon d’obtenir de l'argent et du pouvoir.

L'EURD est déjà dans le pays depuis plus de 15 ans et à travers le travail d'évangélisation a déjà pu livrer beaucoup de gens et d'enfants de cette pratique.

L'action de l'Eglise conduit les gens à apprendre à défaire les mythes et le mysticisme et mène les personnes à la véritable prospérité à travers l'Evangile.

Evêque Renato Cardoso

L’immaturité dans la foi









Avez-vous déjà observé des enfants en train de jouer? Le degré de pureté et d'innocence est si accentué, que cela attire et amuse tout adulte.

Cependant, leurs attitudes ne sont pas toujours saines. Il y a des moments difficiles où il est délicat de contrôler leurs impulsions, surtout lorsqu’ils veulent des choses au mauvais moment. Face à cela, beaucoup deviennent mal élevés et parfois même incontrôlables.

Tout cela parce que leurs émotions sont à fleur de peau. Ils ne pensent pas, ne mesurent pas les conséquences de leurs actes, n'ont aucun sens du danger... absolument rien!

Ainsi sont les immatures dans la foi. Ils croient que le « Papa du Ciel » doit répondre à leurs requêtes sur-le-champ, indépendamment de Sa volonté.

Un tel enfantillage spirituel serait compréhensible, s’il n’y avait pas les menaces d’abandon de la foi. Comme si l’Eternel Dieu dépendait d'eux.

D'autres, depuis de nombreuses années, ont investi dans la construction de châteaux de réels problèmes. Et lorsqu’ils ont accès à la foi, ils veulent l'utiliser comme une baguette magique pour les résoudre du jour au lendemain.

Par ailleurs, il y a ceux dont la foi ne se développe pas à cause de la jalousie et des disputes marquées par leur caractère. Pour ce type de «chrétien» l'apôtre Paul a dit:

Pour moi, frères, ce n'est pas comme à des hommes spirituels que j'ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter; et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels. En effet, puisqu'il y a parmi vous de la jalousie et des disputes, n'êtes-vous pas charnels, et ne marchez-vous pas selon l'homme? (I Corinthiens 3:1-3)

En ouvrant la porte!








Dans un pays en guerre, il y avait un roi qui provoquait l’étonnement.

Chaque fois qu’il détenait des prisonniers, il ne les tuait pas, il les conduisait dans une salle où il y avait un groupe d'archers dans un coin et une énorme porte de fer de l'autre. Sur la porte étaient suspendus de nombreux crânes couverts de sang.

Dans cette pièce, le roi laissait les prisonniers choisir l’une des deux options:

- Vous pouvez choisir de mourir transpercés par les flèches de mes archers ou passer par le seuil de cette porte?

Tous ceux qui sont passés par ici ont choisi de mourir sous les flèches de mes archers.

A la fin de la guerre, un soldat, qui avait longtemps été au service du roi, lui dit:

- Seigneur, puis-je vous poser une question?

- Dites, soldat.

- Qui a-t-il derrière cette porte effrayante?

- Allez-y et voyez.

Au début, il fut terrifié, mais confiant dans le roi, il poussa lentement la porte, et réalisa qu’au fur et a mesure qu’il le faisait, des rayons de soleil entraient dans la pièce jusqu’à l’illuminer totalement. La porte menait hors du cachot vers la liberté.

Le soldat, admiratif, regarda le roi, qui dit:

- Je leur donnais toujours le choix, mais ils préféraient plutôt mourir que de risquer d’ouvrir cette porte.

Eh oui, combien de fois nous n'ouvrons pas une porte ou nous n’entrons pas par une autre, par peur du risque?

Aujourd’hui, dans ce monde, beaucoup de gens n'ont toujours pas trouvé la liberté précisément pour cette raison: la peur. Peur que cela ne va pas marcher, peur de ce que les autres vont penser, peur de l'échec, enfin. Et de ce fait, ils restent stagnés, toujours arrêtés dans le temps et plongés dans les problèmes.

Nous devons être différents, mais bien souvent nous faisons exactement la même chose.

Combien de personnes induites par les préjugés imposés par les médias sataniques, ont eu peur de passer par la porte de l'Eglise Universelle?

Mais les affligés, ceux qui n'ont rien à perdre, tentent et conquièrent la plénitude de la liberté à travers une foi audacieuse et irrévérencieuse.

Collaboration: Murilo (via email)